Date de la venue du Promis ?

Réponse = 1844 !

1.17. « En l'année 5600 les portes de la sagesse seront ouvertes »
O fils de la parole! Tourne ton visage vers le mien et renonce à tout sauf à moi, car ma souveraineté demeure et mon empire ne périt pas. Si tu cherchais un autre que moi, que dis-je, si tu fouillais éternellement dans l'univers, ta quête serait vaine. (Baha'u'llah)

« En l'année 5600... les portes de la sagesse seront ouvertes. » ( Le Zohar - c.1290 )
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Le "Zohar" est le grand livre de la Kabbale juive faisant référence !

* Sens des « Portes de la sagesse » ?
Les "portes de la sagesse" qui doivent s'ouvrir dans 5600 ans dans le contexte de la "fin des temps" correspondraient au moment où les juifs attendent le "Seigneur des armées", le Promis de Dieu, qui doit venir au moment du rassemblement du peuple juifs en Israël et unir l'humanité en paix. Il ne serait pas étonnant que le nom du Promis (ou de son précurseur) fasse justement allusion à cette "Porte" (Bab en arabe).
Les "portes de la sagesse" seraient ouvertes par le "Seigneur des armées" le Promis de Dieu !

* Quelle serait la date de départ de cette prophétie ?
Le calendrier juif démarrerait vers l'an -3760 avant J.C avec la création du premier Homme (certes spirituel avec le 1er Messager divin Adam car la genèse physique de l'humanité est plus ancienne). Le dictionnaire Quid confirme d'ailleurs cette date de départ en écrivant que le 1er janvier 2000 après J.C correspond à l'année 5760 (23 Tébeth) du calendrier juif.
A noter que selon les diverses traditions juives, le Promis devrait venir dans tous les cas avant la date butoir extrême de l'an 6000 du calendrier juif, soit au grand maximum avant l'an 2240 après J.C. A noter aussi que le calendrier juif est actuellement luni-solaire, donc les mois sont lunaires mais l'année juive est complétée pour être calée sur l'année solaire.
Le calendrier juif démarrerait vers l'an -3760 avant J.C !

* Quelle serait la date de la révélation divine du Promis ?
Entre le courant de l'année -3760 av. J.C et le début de l'an 0, il s'est écoulé non pas 3760 années, puisque l'on compte à rebours, mais une année de moins soit 3759 années. Ainsi la fin de l'attente du Promis de Dieu abouti à la date : 5600 - 3759 = 1841 après J.C. L'approximation de 3 ans entre 1841 et 1844 est acceptable si l'on considère les imprécisions des calendriers humains successifs alors que 6 millénaires séparent ces évènements, cette différence infime représentant moins de 0.05%, le fait aussi que l'auteur du Zohar n'était pas un Messager divin infaillible mais un grand érudit, et que de toute façon même quelques années avant ou après le Promis par sa présence ouvrait déjà les "Portes de la sagesse".
Ainsi la fin de l'attente du Promis pourrait survenir en 1844 ap. J.C !


Conclusion: cette prophétie annoncerait la venue du Promis de Dieu en 1844 !

Un peu d'histoire... A cette époque le Calife de l’empire Ottoman signa un « Edit de tolérance » qui permit aux juifs de commencer progressivement leur retour en Terre Sainte conformément aux prophéties après douze siècles d’occupation musulmane. Cet Edit fut promulgué le 21 mars 1844 !

Qui répond à cette prophétie ?

Le 23 mai 1844 en Perse un Messager de Dieu appelé le Bab (la Porte) s’est levé avec une nouvelle révélation divine annonçant la venue imminente du Promis de toutes les religions...
Baha'u'llah

Baha’u’llah est venu apporter la justice et la paix à l’humanité en révélant des lois et un nouveau message divin capable d’unifier dans le respect de la diversité tous les peuples de la terre en une seule famille humaine...

Voir www.religare.org pour lire la révélation de Baha’u’llah et commencer votre recherche personnelle...

Citation: «Tu es le Dieu qui traite toutes choses avec miséricorde, qui juge entre toutes choses et dont la vision embrasse toutes choses. Tu es Dieu, mon Seigneur, tu es conscient de ma condition, tu observes mon être intérieur et extérieur. Accorde-moi ton pardon ainsi qu'aux croyants qui ont répondu à ton appel. Sois ma seule aide contre les malheurs et les chagrins que quiconque puisse vouloir m'infliger. En vérité, tu es le Seigneur de toutes choses créées. Tu suffis à chacun alors que, sans toi, nul ne peut se suffire à lui-même.» (Sélections des Écrits du Bab)